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La 68e session de la Commission de la condition de la femme (CSW68) souligne l’importance d’accélérer le progrès

Cette grande messe a permis aux différents acteurs internationaux des droits de l’Homme de débattre autour des solutions et des actions à mener pour atteindre les objectifs à horizon 2030. A travers les évènements parallèles organisés par les entités des Nations Unies et les ONG autour de questions critiques liées à l’égalité des sexes, plusieurs communications ont été formulées pour témoigner de l’engagement en faveur de l’égalité des sexes, de la lutte contre la pauvreté et du renforcement des institutions.

Lors de son discours d’ouverture à l’occasion de l’événement parallèle de la CSW68 intitulé « Partenariat et pratiques multipartites pour faire avancer l’égalité des sexes, les droits de l’homme et la démocratie » tenu au siège de l’ONU le 20 mars 2024, Sima Bahous, la Directrice exécutive d’ONU Femmes a déclaré « pourtant, nous ne sommes pas découragés. Les femmes défenseures des droits humains, les jeunes, la société civile, les parlementaires et les fonctionnaires à tous les niveaux des gouvernements et des organisations multilatérales s’efforcent de faire avancer l’égalité des sexes dans leurs communautés et dans leurs pays. Ils œuvrent pour la paix, une planète en équilibre et pour faire avancer les promesses des objectifs de développement durable ». Elle a indiqué que ONU Femmes et les différentes agences des nations unis vont mettre l’accent « sur l’importance de l’apprentissage intergénérationnel et intersectionnel, en particulier de la part du mouvement des femmes, et nous fournirons des ressources techniques et financières pour soutenir directement les défenseures des droits des femmes, la société civile et les groupes de jeunes. Ce faisant, nous veillerons à ce que les expériences vécues par les femmes et les filles soient au premier plan. Et que nos solutions sont motivées par les besoins contextuels spécifiques. »

L’UNESCO a pour sa part contribué en soulignant « son approche multiforme visant à autonomiser les femmes à l’échelle mondiale. Du soutien aux voix des femmes dans les contextes de conflit à la promotion d’une budgétisation sensible au genre pour l’éducation, de la lutte contre les préjugés sexistes et la violence dans la technologie à la maximisation du potentiel du patrimoine culturel et des industries créatives pour faire progresser l’égalité des sexes et à la promotion des contributions vitales des femmes aux sciences et aux sciences. L’UNESCO reste persistante dans son engagement à faire progresser l’égalité des sexes et à éradiquer la pauvreté par l’éducation, la communication et l’information, la culture et les sciences. »

L’UNFPA a quant à elle abordé « des problématiques telles que les causes profondes de la pauvreté touchant les femmes et les filles des communautés d’ascendance africaine, la charge liée au travail domestique non rémunéré, les obstacles à l’accès à la justice pour les femmes et les filles handicapées, l’importance de l’implication des femmes en tant que leaders, et le financement des initiatives visant à mettre un terme aux mutilations génitales féminines ».
Plusieurs pays ont aussi contribué au débat via des représentants officiels ou via leur société civile. Selon un communiqué du Comité de Vigilance pour la Démocratie en Tunisie (ONG dotée du statut consultatif spécial auprès de l’ECOSOC (ONU) ), la Tunisie a été représentée par le Comité de vigilance pour la démocratie en Tunisie (CVDT) aux cotés de la Ligue tunisienne pour la défense des droits de l’homme (LTDH), l’Association tunisienne des femmes démocrates (ATFD), l’Association des femmes tunisiennes pour la recherche sur le développement (Afturd), le Front pour l’égalité et les droits des femmes (FEDF), l’Association Mourakiboun.
Pour rappel, selon UN NEWS , « la Commission de la femme (CSW) se réunit tous les ans en mars afin de lutter contre les inégalités, la violence et la discrimination généralisées auxquelles les femmes continuent de faire face. Le travail de la Commission a commencé en 1946, quelques jours après l’intervention, lors des premières réunions de l’Assemblée générale, de l’ancienne Première dame Eleanor Roosevelt et une partie de la délégation des États-Unis, aient lu une lettre ouverte adressée aux « Femmes du monde ».
La Commission des affaires économiques et sociales de l’ONU a créé une sous-commission chargée d’évaluer les « problèmes liés à la condition de la femme » pour conseiller la Commission des droits de l’homme de l’ONU, précurseur du Conseil des droits de l’homme de l’ONU. « En juin 1946, elle devint officiellement la Commission de la condition de la femme, l’un des organes subsidiaires de l’ECOSOC. De 1947 à 1962, la Commission s’est concentrée sur l’établissement de normes et la formulation de conventions internationales pour modifier la législation discriminatoire et favoriser une prise de conscience mondiale des problèmes des femmes ».

L’UNFPA a quant à elle abordé « des problématiques telles que les causes profondes de la pauvreté touchant les femmes et les filles des communautés d’ascendance africaine, la charge liée au travail domestique non rémunéré, les obstacles à l’accès à la justice pour les femmes et les filles handicapées, l’importance de l’implication des femmes en tant que leaders, et le financement des initiatives visant à mettre un terme aux mutilations génitales féminines ».
Plusieurs pays ont aussi contribué au débat via des représentants officiels ou via leur société civile. Selon un communiqué du Comité de Vigilance pour la Démocratie en Tunisie (ONG dotée du statut consultatif spécial auprès de l’ECOSOC (ONU) ), la Tunisie a été représentée par le Comité de vigilance pour la démocratie en Tunisie (CVDT) aux cotés de la Ligue tunisienne pour la défense des droits de l’homme (LTDH), l’Association tunisienne des femmes démocrates (ATFD), l’Association des femmes tunisiennes pour la recherche sur le développement (Afturd), le Front pour l’égalité et les droits des femmes (FEDF), l’Association Mourakiboun.
Pour rappel, selon UN NEWS , « la Commission de la femme (CSW) se réunit tous les ans en mars afin de lutter contre les inégalités, la violence et la discrimination généralisées auxquelles les femmes continuent de faire face. Le travail de la Commission a commencé en 1946, quelques jours après l’intervention, lors des premières réunions de l’Assemblée générale, de l’ancienne Première dame Eleanor Roosevelt et une partie de la délégation des États-Unis, aient lu une lettre ouverte adressée aux « Femmes du monde ».
La Commission des affaires économiques et sociales de l’ONU a créé une sous-commission chargée d’évaluer les « problèmes liés à la condition de la femme » pour conseiller la Commission des droits de l’homme de l’ONU, précurseur du Conseil des droits de l’homme de l’ONU. « En juin 1946, elle devint officiellement la Commission de la condition de la femme, l’un des organes subsidiaires de l’ECOSOC. De 1947 à 1962, la Commission s’est concentrée sur l’établissement de normes et la formulation de conventions internationales pour modifier la législation discriminatoire et favoriser une prise de conscience mondiale des problèmes des femmes ».